Alexandra Luthereau

Projet en cours : T’es pas ma mère !

Un podcast garanti sans sorcière, ni marâtre (ou presque)

10 % parmi les 13 millions d’enfants en France vivent dans une famille recomposée. Autrement dit, un sur 10 vit avec un beau-père ou une belle-mère.

Si les beaux-pères jouissent d’une image cool, les belles-mères elles subissent toujours et encore des préjugés sur leur supposée jalousie, méchanceté et favoritisme en faveur de leurs propres enfants quand elles en ont. Sexisme es-tu là ?

Dans la réalité des familles recomposées, ce sont pourtant les belles-mères qui font tourner la maison, organisent le planning et les vacances de toute la tribu, soignent les bobos, surveillent les devoirs etc. Bref, elles doivent s’occuper des enfants, être maternantes, tout en prenant garde de ne pas prendre la place de la mère. Le tout sans reconnaissance de leur rôle, ni de la part du père, des enfants ou de la société.

Je suis allée à la rencontre de belles-mères pour qu’elle me raconte leurs joies mais aussi leurs galères, pour dessiner un portrait nuancé de ces mamans bonus, à mille lieues de la marâtre de Cendrillon